Neuvième pièce du Deuxième Livre des Préludes, écrit entre 1911 et 1912.
Le titre du prélude fait référence au protagoniste du roman Les Papiers posthumes du Pickwick Club de Charles Dickens, PPMPC signifiant « Perpetual President Member Pickwick Club ».
Pour Alfred Cortot, « il n’est point possible de concevoir une adaptation musicale plus spirituelle, non seulement du caractère du héros de Dickens, mais encore du style même de ce dernier. C’est sa bonhomie caustique, sa malice savoureuse, et chaque mesure de cette pièce est un trait qui porte, depuis l’emploi comiquement sérieux du God save the King, jusqu’au sifflement dégagé de la dernière page, en passant par ces alternances de gravité distraite, de timidité et de contentement de soi qui composent la personnalité humoristique de Picwick »

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